Helas, trois fois hélas, encore une lettre adressée à Henry de Lesquen

Anne BRASSIE

Patron de l’émission Livres en poche depuis 1987

Didier ROCHARD

Patron du libre-journal des auditeurs et des musiciens depuis 1989

Lettre ouverte à Henry de LESQUEN

Paris, le 8 septembre 2016

Henry,

Nous sommes les deux plus anciens patrons d’émission de Radio-Courtoisie. A nous deux, nous cumulons 56 années d’ancienneté et d’engagement à Radio-Courtoisie.

Le 7 novembre 1987, la première émission de Radio-Courtoisie a été animée à la demande de Jean Ferré par Serge de BEKETCH et Anne BRASSIE.

Depuis, chaque semaine, chaque jeudi pour Anne BRASSIE, chaque Dimanche pour Didier ROCHARD, nous assurons bénévolement 4h30 d’émission, sans compter les heures de préparation et de déplacement, par passion pour le projet radiophonique, culturel et politique  de Radio Courtoisie, au détriment de nos vies privées et ce depuis 27 et 29 ans.

Nous estimons donc tous les deux, plus que quiconque, avoir la légitimité pour vous adresser la présente. Vous avez la légalité pour vous. Mais nous avons la légitimité morale de nous adresser à vous. La crise étant publique, la présente l’est également.

Vous vous êtes emparé habilement du pouvoir en 2006 à la mort de Jean FERRE en procédant à une première vague d’épuration de patrons d’émission bien plus anciens et légitimes que vous. Nous l’avons tous supporté tant que la radio était gérée et qu’elle comblait nos auditeurs.

Mais aujourd’hui, vos prises de parole, à la radio, mais surtout en dehors, la décrédibilisent durablement et lui font perdre son essence. D’abord parce que de nombreux donateurs, petits ou gros, ne veulent plus financer la radio. Ensuite parce que vous êtes à l’origine de départs massifs de libres patrons, soit qu’ils aient été contraints ou poussés à démissionner, soit que vous les ayez exclus. En 10 ans de présidence, c’est une trentaine de patrons d’émission de qualité, auxquels les auditeurs de Radio-Courtoisie étaient attachés, dont vous avez privé unilatéralement ces derniers. Il faut ajouter à cette liste d’exclus les bénévoles du secrétariat remerciés du jour au lendemain, sans raison.

Or, Radio-Courtoisie n’est pas votre radio. Elle n’est pas davantage la nôtre. Elle est celle des auditeurs qui, chaque jour, nous font l’amitié de nous écouter. Et elle n’est ce qu’elle est que grâce à l’ensemble des patrons d’émission.

Vous avez beau jeu de dire que l’essence de Radio Courtoisie, c’est la liberté. En réalité, il s’agit de votre liberté et non de celle des patrons d’émission avec qui vous jouez comme des pions ( tant d’émissions sont censurées à votre simple convenance, sans même en informer les « patrons »). Au mépris des auditeurs qui les aiment et les écoutent. Quant à la liberté que vous prétendez reconnaître aux autres, elle s’arrête devant votre personne et vos décisions unilatérales.

Radio Courtoisie n’a jamais été conçue comme cela dans la volonté de Jean FERRE et de Serge de BEKETCH.

Radio Courtoisie est d’abord la radio de la courtoisie. Elle est ensuite la radio des auditeurs et des patrons d’émission qui la faisaient et la font avec compétence, abnégation et bénévolement. C’est d’ailleurs la raison pour laquelle Jean FERRE avait tellement négligé l’aspect statutaire que vous avez habilement verrouillé depuis au profit de votre seul pouvoir. Une réforme des statuts pour associer à son administration l’ensemble des patrons d’émission qui font la radio ne saurait, à cet égard, être éludée. Radio-Courtoisie a enfin toujours été la radio de toutes les droites, ce qui est de moins en moins vrai puisque vous conspuez publiquement et traitez d’ennemis de la France tous ceux qui n’ont pas l’heur de vous plaire.

Aujourd’hui, la triple-surenchère qui est la vôtre, dans les propos, dans l’épuration et dans les attaques de tous ceux qui vous déplaisent ou osent s’opposer à vous, n’est plus supportable, ni pour notre radio que nous servons fidèlement semaine après semaine depuis 27 et 29 ans, ni pour les patrons d’émission, ni pour nos fidèles auditeurs qui sont la raison d’être de Radio Courtoisie.

C’est l’avenir, la crédibilité et même l’essence de la Radio telle que nous l’avons commencée et poursuivie pendant ces 29 années qui est en jeu.

C’est pourquoi, en tant que plus anciens patrons d’émission, nous vous demandons officiellement de démissionner de la présidence de Radio Courtoisie.

Nous vous prions d’agréer, Henry, nos salutations distinguées.

Anne BRASSIE – Didier ROCHARD

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14 réponses à Helas, trois fois hélas, encore une lettre adressée à Henry de Lesquen

  1. Marie dit :

    Merci Madame, merci Monsieur !
    Auditrice fidèle de Radio Courtoisie comme l’a été mon père défunt hélas et comme l’est toujours ma mère ainsi que ma famille entière, nous assistons avec effroi la mise à sac, de notre belles radio si précieuse, par son directeur actuel.
    J’ai écrit plusieurs fois pour demander ce que comptaient faire les patrons d’émission qui quittent un à un le navire. A moins qu’on les pousse par dessus bord.
    Le Libre journal du mercredi à perdu l’an dernier Emmanuel Ratier, perte immense. Puis Gérard Marin est mort le jour de l’assassinat du Père Hamel. Hasard…
    Bernard Antony a été aussi poussé dehors.
    Jean-Yves Le Gallou, Gabrielle Cluzel, Daniel Hamiche et pardon pour ceux que j’oublie, ceux qui sont une parie de l’âme de la radio, tous partis.
    Maintenant vous Madame que nous attendons le jeudi matin avec impatience pour nous livrèrent vos trésors, maintenant Monsieur Brochard aussi que nous écoutons le dimanche au retour de randonnées dominicales, allez vous aussi partir ?
    Tout cela est insupportable, tout ce massacre de la belle œuvre de Jean Ferré et de Serge de Beketch que j’écoutais très jeune, doit cesser. Alors nous vous demandons avec force de tout faire pour que M. De Lesquen sorte avec courtoisie, si cela lui est possible.
    Mon attention sur son comportement avait été attirée lorsque qu’il avait reçu Marie Thérèse Urvoy et son époux Dominique. Il n’arrêtait pas de leur couper la parole pour les contredire sur leur propre terrain. Nous avions été nombreux à protester.
    Nous vous souhaitons bon courage et vous prions de faire ce qui est en votre pouvoir pour sauver Radio Courtoisie de ce monsieur. Je n’ai pas non plus renouvelé ma cotisation que je donnerai à TV Liberté qui fait aussi un excellent travail de qualité.
    Avec mes sentiments les meilleurs,
    Marie Le Styr-Aubin, auditrice de Berlin grâce à internet.

  2. bour dit :

    Bravo et merci. La radio appartient à ses auditeurs. Il est très urgent de réagir avant le naufrage. Que tous les exclus se regroupent et agissent. Il doit bien y avoir un moyen de changer légalement de président. Demandez l’avis des auditeurs ou lancez une pétition. Merci.

  3. GABORIAUD Marie-Thérèse dit :

    Mille fois bravo pour le contenu de votre lettre. Mon mari et moi, auditeurs de la première heure, souhaitons que Radio Courtoisie continue de vivre, mais sans à sa tête ce gourou qu’est Henry de Lesquen. Agée et malvoyante, je ne peux pas m’étendre davantage dans ce message, mais sachez combien je vous remercie de tout cœur d’avoir rédigé cette lettre ouverte.

    Très cordialement,

    M-Th. Gaboriaud.

  4. M201 dit :

    Un immense merci à Mme Anne Brassié dont j’écoute depuis 20 ans les émissions avec joie. Une bouffée d’élégance, une cure d’altitude mentale, un délice pour l’esprit et les oreilles, ne serait-ce qu’à cause de sa voix quand elle lit des textes.

    Le comportement dictatorial, la morgue, le ton hautain, la discourtoisie de Lesquen qui s’écoute parler dans d’interminables et pédants monologues, interrompt et maltraite ses invités comme un goujat et un cuistre, traite avec inhumanité les patrons d’émission, se sert de la radio à de vaines et inutiles fins de promotion personnelle, débite ses élucubrations haineuses et bizarres sur Internet à longueur de journée, tout cela n’est pas supportable. Car il ose tout et surtout le pire pour la radio qu’il menace.

    On a rarement rencontré une personne ayant aussi peu d’empathie, d’humanité, d’élégance. Un président doit unir et rassembler, surtout pour une radio dont la vocation statutaire est l’union des droites. Il n’accomplit pas cette mission et doit démissionner.

    La radio a très bien vécu sans lui pendant 20 ans, elle sera libérée et fonctionnera bien mieux sans lui à l’avenir.

  5. Darchy-Aubry dit :

    Merci Anne pour la façon claire et courtoise avec laquelle vous exposez des faits objectifs.

    Nous ne pouvons juger les hommes sur leurs intentions et motivations les plus secrètes, mais nous pouvons et devons porter un jugement moral sur les actes qu’ils posent. C’est pourquoi nous ne devons pas craindre que ceux qui font le vide autour d’eux se retrouvent seuls et prêchent en suite face à un désert… Car il vaut mieux qu’ils n’infectent pas ceux qui pourraient par faiblesse, se laisser contaminer par un poison insidieux.

    Merci à TV Libertés d’être un lieu d’expression LIBRE où nous avons encore le plaisir d’entendre votre voix, chère Madame, tout comme celle de ceux qui ont été remerciés sur radio-« courtoisie ».

    Si je puis me permettre, il en est un que je souhaiterais entendre d’ailleurs plus souvent, c’est celle de notre ami Bernard Antony dont le travail pour ne pas dire l’oeuvre de toute une vie, dévouée au service du prochain, d’ici ou d’ailleurs, mériterait que nos antennes s’en fasse davantage l’échos. Voici un homme de probité, un homme sans langue de bois, une homme d’honneur et de courage, dont la trajectoire n’a pas variée d’un iota depuis les années « 80 » où j’eus l’honneur de le connaître, au Journal Présent d’abord, à Chrétienté -Solidarité ensuite, en passant par le Liban où il eut ce culot invraissemblable de nous emmener , nous une joyeuse et généreuse « troupe » de jeunes auprès de nos frères libanais dans un pays encore en état de guerre. Ce que je veux dire, c’est que ce sont des hommes comme comme celui-ci dont nous avons besoin: un homme à qui on pourrait appliquer la célèbre phrase d’Austin:  » DIRE, C’EST FAIRE ». Ainsi nous pouvons poser la question à ceux que cela pourrait sembler concerner sans en faire une affaire de personne mais plutôt de façon à ce que toute personne observant ce qui se passe à radio-Courtoisie puisse être à même d’en tirer pour lui-même une leçon de vie: Tout ce que nous avons dit, l’avons-nous fait? Tout ce que nous faisons est-il conforme à ce que nous avons dit?
    La question double a presque l’air banale. Ce qui l’est moins c’est le fait que Bernard Antony aura marqué durablement plusieurs générations de jeunes qui n’ont pu que s’engager, d’une façon ou d’une autre à la suite du combat qu’il a initié. Pour ma part, j’aimerais savoir ce que Mr de Lesquen a pu susciter comme vocations.? Ah! si pardon , j’oubliais! Mr de Lesquen a obtenu ceci: une véritable horreur et détestation pour la façon très discourtoise avec laquelle il coupe la parole à ses invités, une véritable horreur et détestation pour toute forme de pédanterie et de vaine fatuité ( pardon pour la redondance).

    Nous aurions pu penser que l’anaphore  » Moi Président » aurait pu servir de mise en garde, il n’en a rien été. Le mérite toutefois de cette figure de style est de servir de paradigme: « toute action commençant ou contenant l’expression récurente « moi président » est une action vouée à l’échec, le nombre de répétition de la dite- expression, étant inversement proportionnelle par la suite, aux nombre d’électeurs… ou d’abonnés!

    Bien cordialement à vous Anne et Didier,

    Isabelle Darchy-Aubry

  6. A. F. dit :

    Il me semble que la Radio se porte bien et il y a plein d’émissions très intéressantes. Il y a de nouveaux patrons et d’autres qui partent, et puis voilà.
    Je ne vois pas l’intérêt de tout ce remuage de merde, inutile et inopportun.
    Vous prétendez défendre quelque chose que vous contribuez à abîmer, tout cela est incohérent. Je ne parle même pas de B. Antony qui appelle à faire la grève des cotisations dans le plus pur style stalinien…
    J’espère que vous ne serez pas assez sotte et orgueilleuse pour priver les auditeurs de vos émissions, pour des caprices et des vaguelettes dans un dé à coudre.

  7. Pillon dit :

    Bravo pour cette lettre. Mon seul regret est qu’elle n’ait pas été écrite plus tôt. En effet, en tant qu’auditrice et adhérente (protestante qui plus est) il y a bien longtemps que je suis ulcérée de l’attitude de Monsieur de Lesquen. Il m’est arrivé plusieurs fois d’écrire pendant son émission pour lui demander de ne pas interrompre son interlocuteur. Je me suis bien souvent sentie offensée par ses propos si discourtois, et de plus alors qu’il succédait à cette même heure au fondateur de la radio, Monsieur Jean Ferré, si respectueux. Il ne me semble pas que Monsieur de Lesquen ait durci son insupportable discours ces derniers mois. J’ ai continué à régler mes cotisations pour certaines émissions, comme les deux vôtres, celle de Monsieur Le Méné, Marie-Thérèse Hablot ou celle sur le cinéma ou encore celle de Martial Bild dont j’aimais le côté « désinvolte ». J’ai apprécié le retour de Monsieur Couteaux, déjâ remercié. Je crains que ce « soulèvement » ne soit du en partie au fait que bcp de patrons d’émissions se sentent personnellement touchés. Je veux dire par là que si Monsieur de Lesquen ne se présentait pas à l’élection présidentielle les choses en resteraient sans doute là. Mais je suis de tout cœur avec votre démarche. Bien cordialement. FP

  8. JFH dit :

    Chère et délicieuse Anne,

    Grande âme, combattante infatigable, voix rayonnante de conviction, perle de culture, ton éviction sonne le glas de ce qui est doit être maintenant nommée Radio Lesquen et non plus Radio Courtoisie.

    Il est 10h45 en ce jour de septembre, et nos jeudis sont désormais orphelins.

  9. Nanon Bertrand dit :

    Chère Anne,
    J’ai tardé à vous écrire car vos commentateurs ont déjà tout dit. Votre lettre, de laquelle il n’y a rien à retrancher mais avec les conséquences que l’on sait, soulage certainement un grand nombre d’auditeurs, désorientés sinon ulcérés par l’outrance de H. de Lesquen, que personnellement je n’écoutais plus, ulcérée par sa grossièreté, son ego pour ne pas dire son orgueil. Pour certains d’entre nous, nous vous avons déjà retrouvée sur TV Libertés. A bientôt donc !
    En toute amitié. N. Bertrand

  10. Christophe Massucco dit :

    Henry de Lesquen, qui, comme l’ont fait remarquer plusieurs intervenants, n’a jamais été un modèle de courtoisie, ou même de tolérance, mais auquel on devait reconnaître une certaine énergie et un dévouement à la préservation de la radio qui ont pu s’avérer salutaires après la disparition de Jean Ferré, a franchi au cours de ces derniers mois un palier que je ne m’explique pas en se mettant à virer à tour de bras des piliers historiques de la station. La situation avec votre départ forcé semble s’aggraver… Quelqu’un aurait-il la moindre idée de la raison de ce qui ressemble de plus en plus à un basculement dans un délire paranoïaque, qui aujourd’hui menace la survie de la radio qu’il a œuvré si longtemps à préserver et qui, comme l’ont si bien écrit Mme Brassié et M. Rochard, n’est pas sa propriété privée?

  11. C’est tout simplement une belle lettre, intervenant à son heure et qui reste respectueuse et modéré, mais qui décrit surtout l’emprise qu’a progressivement conquise Henry de Lesquen, en profond contraste avec Jean Ferré dont il n’a pas honoré la mémoire. J’ose vous le dire, je m’attendais à ce que vous soyez plus partisane, et je vous trouve très pondérée, visiblement guidée par le bien de la radio alors que vous participez à une autre aventure, complémentaire et non pas concurrente. Les commentaires montrent qu’émerge la figure de Bernard Antony dont l’héritage ne peut pas être piétiné. C’est personnellement quand il l’a attaqué que j’ai renoncé à soutenir Henry de Lesquen, tout en ne me dissimulant pas que certaines des défections come celle de guillaume de thieulloy, ont eu l’intérêt pour mobile, et le désir de succéder à Henry de Lesquen. Ce n’est pas votre cas et je vous en remercie, tout comme je remercie didier Rochard qui s’affirme de plus en plus dans ses émissions.

  12. Bourdon dit :

    Bonsoir Anne
    Vous avez choisi avec Didier Rochard et de nombreux camarade son partit. Laissant seul De Lesquen choisir ses patrons d’émissions.
    Aujourd’hui nous avons eu un libre journal de Christian Vanneste gaulliste convaincu et demain?
    Fait’il partir ou restez ? Il reste Martin Peltier mais jusqu’à quand. Quand Hannibal un invité ne plairas pas à De Lesquen celui retirera à Martin son émission comme il avait déjà fait quand il remplaça Serge à sa mort de ce dernier. Dommage que la Radio créer par Jean Ferré et Serge de Beketch finisse ainsi. Comment vous persuadez de revenir peut être au nom de notre Camarade Commun Mait’Jean que nous avons accompagnés ensemble
    Amitiés Normandes

  13. Paul GARABOUX dit :

    Bonjour. Je suis très déçu de la valse des patrons d’émissions ces derniers temps à radio courtoisie. Puisse monsieur De Lesquen accepter les critiques à son égard concernant son comportement , ses décisions, ses convictions. La courtoisie impose d’accepter ces critiques et différences de pensées émises par son entourage radiophonique. Il est évident que son comportement ne peut que nuire à cette belle radio courtoisie car le monde politico-médiatique de notre république ne se privera point de fustiger radio courtoisie en l’associant , que dis-je, en pratiquant un fabuleux amalgame entre les propos et attitude tenus à l’antenne et la volonté de se présenter à la présidence de la république.Radio courtoisie est me semble-t-il en danger;quelle tristesse ….Beau gâchis ! Paul Garaboux

  14. franck laplace dit :

    bonjour
    vous participiez pour une grande part au charme de cette radio.
    drôle d époque ou les présidents s ‘accrochent à leur fonctions.
    à gauche comme à droite hélas l intelligence ne suffit pas, il manque une certaine grandeur d âme.
    j espère que radio courtoisie n attendra pas d avoir perdu 96 pour cent de ses auditeurs pour entendre raison.
    j espère surtout vous entendre à nouveau bien vite, vous me manquez.

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