« Nous périssons faute d’émerveillement mais non faute de merveilles. » Chesterton
Recherche
-
Articles récents
- [Redif]Perles de Culture n°82 – Dans le 14ème arr. de Paris, un endroit secret, la Cité du souvenir
- Ces douze verrières contemporaines qui ont bien failli habiller Notre-Dame de Paris
- Être éveillé est dangereux
- Leurs valeurs jusqu’au délire
- Perles de Culture n°403 – De la supériorité du vers pour exprimer la souffrance
Archives
Catégories
- A propos (72)
- Agenda (520)
- Chroniques Inactuelles (99)
- Écoutez et lisez (5)
- poésie sacrée (1)
- la bibliothèque de CL (3)
- Légende dorée (10)
- Les émissions d'Anne Brassié (223)
- Littérature (21)
- Livres choisis (26)
- Musique (8)
- Promenons nous dans les arts (4)
- Retour au réel (56)
- Sur les cimaises (7)
- Sur les écrans (144)
- Sur les planches (6)
- Textes lus à Radio-Courtoisie (3)
- TV Libertes (183)
- Versailles Mon Amour (24)
Commentaires récents
- Marc-M. dans Et la liberté de penser, quand l’inscrit-on dans le marbre ?
- VANBEVEREN STEPHANE dans Sur les écrans La Ferme des Bertrand
- Vanbeveren Stéphane dans Boulet UE / soutien aux agriculteurs
- Anne Charlotte LUNDI dans Le testament spirituel et intellectuel de Patrick Buisson
- dupont dans Avortement : “j’ose espérer qu’une mobilisation des chrétiens comme de tous les citoyens est encore possible”
-
Abonnez-vous à notre newsletter
Liens
La femme aux cinq éléphants
Ce contenu a été publié dans Sur les écrans, avec comme mot(s)-clé(s) Dostoïevski, Svetlana Geier. Vous pouvez le mettre en favoris avec ce permalien.
Merci d’avoir parlé de Svetlana Geier.
Petite rectification : le Lucernaire est situé rue Notre-Dame des Champs. Il n’y a malheureusement pas un seul théâtre ou cinéma rue du Cherche-Midi.
Voisine de mon Lucernaire très aimé, je me suis sentie « lésée » !!