Instruisons-nous, ne tombons pas dans le panneau climatique !

Trouvé sur la toile :

Il y a 3 milliards d’années la terre commençait à être habitée par des formes de vies élémentaires, elles ont évolué sous diverses formes pour disparaître et être remplacées par de nouvelles qui ont aussi été anéanties par des extinctions de masse. Nous en sommes à la sixième qui a débuté et dont nous ferions aussi partie .

Mince alors, mais rien ne presse alors, pas de stress ! …. La planète est autonettoyante avec des périodes de chaud et de froid à répétition et il y en aura beaucoup d’autres, espérons-le .

Ceci étant dit, prenez connaissance de cela :

Histoire climatique

Quelle prétention de croire que c’est l’homme qui a changé le climat !!!

Il y a 22 000 ans, le niveau de la mer était de 110 mètres plus bas.
Il y a 8 000 ans, il était 40 mètres plus haut qu’aujourd’hui (période brève, avec création de la mer Noire).

Les volcans sont responsables de 80 % des rejets de dioxyde de soufre.

A distribuer à tous les écologistes de votre entourage, peut-être qu’au travers de ces dates, ils trouveront des explications au réchauffement de la planète dû à notre mode de vie d’aujourd’hui… !!!?

Très intéressant : vous avez dit sécheresse ?

À ma connaissance il n’y avait pas de moteurs à explosion avant 1856 !

Donc pas de voitures, d’avions, de porte-conteneurs, de navires de croisières, pas d’industries ou chauffages utilisant le fuel lourd etc…

Et pourtant, il y a eu des canicules pires que celle de 2019 !!!

Pourquoi ??? That is the question !

Lisez ci-dessous et vous serez peut être surpris comme je l’ai été !

La canicule de juillet 2019… et LES AUTRES !!!

Pour info.

Voilà ce que l’on pouvait lire dans un journal anglais, le Hampshire Advertiser from Southampton, le 17 juillet… 1852 ! Vous pouvez trouver le fac-similé sur internet.

En 1132, en Alsace les sources se tarissent et les ruisseaux s’assèchent. Le Rhin pouvait être traversé à pied.
En 1152, la chaleur était si intense que l’on pouvait faire cuire des œufs dans le sable.
En 1160, à la bataille de Bela (en Hongrie), un grand nombre de soldats moururent en raison de la chaleur excessive.
En 1276 et 1277, en France, la récolte d’avoine et de seigle fut totalement détruite par la chaleur.
En 1303 et 1304, la Seine, la Loire, le Rhin et le Danube pouvaient être traversés à pied.
En 1393 et 1394, un grand nombre d’animaux tombèrent morts et les récoltes anéanties en raison de la chaleur.
En 1440, la chaleur fut excessive.

En 1538, 1539, 1540 et 1541 les rivières européennes étaient littéralement asséchées.
En 1556, il y eut une sécheresse généralisée dans toute l’Europe.
En 1615 et 1616, la canicule s’abat sur la France, l’Italie et les Pays-Bas.
En 1646, il y eut en Europe 56 jours consécutifs de grandes chaleurs.
En 1676, des canicules à nouveau.

Les mêmes événements se produisirent au XVIIIe siècle.
En 1718, il n’y eut aucune pluie entre les mois d’avril et octobre. Les récoltes furent brûlées, les rivières asséchées et les théâtres fermés à Paris par ordre du Préfet de police en raison des températures excessives.
Le thermomètre enregistra 36 degrés Réaumur (45 degrés Celsius) à Paris.
Dans les jardins de la banlieue arrosée, les arbres fruitiers fleurissent deux fois pendant la saison.

En 1723 et 1724, les températures étaient extrêmes.
En 1746, l’été fut particulièrement chaud et sec et les récoltes furent littéralement calcinées. Pendant plusieurs mois il n’y eut aucune pluie.

En 1748, 1754, 1760,1767, 1778 et 1788 les chaleurs d’été furent excessives une des raisons de la révolution de 1789, les très mauvaises récoltes.
En 1811, l’année de la comète, l’été fut très chaud et le vin très bon y compris à Suresnes.
En 1818, les théâtres parisiens restèrent fermés pendant un mois en raison des chaleurs excessives, la chaleur avait atteint 35 degrés Celsius.
En 1830, alors que des combats avaient lieu, le thermomètre affiche des températures de 36 degrés Celsius les 27, 28 et 29 juillet.
En 1832, lors de l’insurrection du 6 juin, le thermomètre releva une température de 35 degrés.
En 1835, la Seine était presque à sec.
En 1850, au mois de juin, au cours de la seconde épidémie de choléra de l’année le thermomètre affichait 34 degrés.

Il s’agit bien d’un extrait de journal de 1852 et non pas de je ne sais quel site complotiste.

Je vous mets en lien l’interview de l’historien Emmanuel Le Roy-Ladurie, parue dans Libération lors de la canicule de 2003, (et diffusé en août 2018) au sujet de celle de 1718 qui aurait fait 700 000 morts !

Libération précise que son livre « Histoire du climat depuis l’an mil » (Flammarion 1967) reste la référence en la matière, ce qui est plutôt un bon point de la part de ce journal qui ne porte pas vraiment les climato-réalistes dans son cœur…
Édité en 1967, à une époque où on ne parlait pas encore de réchauffement climatique, l’éminent auteur de ce livre ne peut pas être accusé de vouloir prendre le contre-pied de la tendance d’aujourd’hui.
Vous pouvez le trouver sur internet pour 9 €. A ce prix-là, il ne faut pas se priver de s’instruire.
Libération, serait donc devenu complice des climato-réalistes, ceux qui osent rappeler l’importance des cycles naturels sans accuser uniquement le CO2, gaz à effet de serre partiellement d’origine anthropique ?
Ceux qui font remarquer qu’à une époque où il n’y avait pas encore le moindre soupçon de début de révolution industrielle (avec son CO2, gaz vital, que l’on nous présente pourtant comme un polluant), il y avait déjà eu de très nombreuses vagues de chaleurs extrêmes ainsi que des sécheresses catastrophiques, entraînant des centaines de milliers de morts…

Je ne comprends plus rien au sujet de la relation CO2/températures qu’on nous assène pourtant comme étant un dogme indiscutable, et vous ?
C’est vrai que nous vivons une très forte et inhabituelle canicule, mais à l’évidence il n’y a rien de nouveau sous le soleil !

PS : amusez-vous à taper « Sècheresse 1718 » sur Google et vous en saurez beaucoup plus.

A moins que vous ne vouliez rester sur la certitude que la canicule actuelle est un phénomène exceptionnel qui n’a encore jamais eu d’antécédents, car provoqué par l’activité humaine…..

Serions-nous encore victimes d’enfumage… ?

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1 réponse à Instruisons-nous, ne tombons pas dans le panneau climatique !

  1. Georges de SABLET dit :

    Et, plus près de nous : le 10 juillet 1947, 40°C à l’ombre à Paris, on se baignait dans la Seine, quai des Tournelles. Du 27 juillet au 5 août 1947 : une chaleur véritablement saharienne envahit tout le pays – les journées du 27 et 28 juillet 1947 sont historiques avec des températures de 40° à Angoulême, Toulouse, Bourges, Angers, Tours, Château-Chinon, Orléans, Chartres et Paris (record absolu depuis 1873), 41° à Poitiers – les insolations sont très nombreuses et les marchants de glace pour réfrigérateurs sont assaillis – le 1er août, il fait encore 40° à Toulouse, Pau et Montélimar, 39° à Angers et Poitiers, 38° à Bourges, Limoges et Clermont Ferrand.(https://www.meteo-paris.com/chronique/annee/1947)

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