Perles de Culture n°275 – Le dieu Blanc est mort à Diên Biên Phu

Anne Brassié reçoit Jean-Luc Ancely, ancien élève de l’Ecole de Cavalerie de Saumur ayant fait carrière dans l’Arme blindée Cavalerie.

Il présente son ouvrage « Le dieu Blanc est mort à Diên Biên Phu – La tragédie indochinoise 1944-1955 » publié aux Editions Mols. Vous découvrirez le récit extrêmement vivant de cette bataille, ses héros et les conséquences de cette défaite.

Le dieu Blanc est mort à Diên Biên Phu aux éditions Mols

 

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3 réponses à Perles de Culture n°275 – Le dieu Blanc est mort à Diên Biên Phu

  1. Hélène Charrier dit :

    Merci de ne jamais oublier de nous rappeler ce qui doit l’être et de nous aider à continuer à recevoir, penser, oeuvrer, transmettre.

  2. FLANDRE dit :

    Merci à nos ignobles « amis » américains. Qu’ils finissent tous en enfer.

  3. Gilles Leboucq dit :

    Madame Brassié, Monsieur Ancely,

    J’avais douze ans quand est tombé DBP ; personne, dans ma Flandre natale ne semblait s’intéresser à cela. Seulement, à ce que je me rappelle, quelques affiches du PCF. J’écoutais la radio; c’était un drame, et je n’avais personne avec qui en parler : les gamins de mon âge n’avaient jamais entendu de ça. Et les adultes qui auraient pu s’intéresser à la chose, ne discutaient pas avec un gamin.

    Puis la guerre d’Algérie effaça DBP. Là les Français étaient intéressés … on y envoyait le contingent, et parfois les autorités venaient frapper à une porte : « Votre fils a été tué … ». Et j’en ai connu de ces fils morts là-bas. Les sursis d’incorporation aidant, je ne suis pas allé en Algérie. En 64, j’ai sollicité un visa pour la République de Ben Bella, histoire d’aller voir sur place. Refusé. Vexé, je n’ai pas fait d’autre demande.

    En 62, en parallèle de mes études, j’ai été pion. J’avais une étude du soir où je surveillais des élèves de math sup ; parmi eux, nombre de Vietnamiens, d’Iraniens et aussi de Grecs. A ma grande surprise, les relations avec « ces étrangers » étaient cordiales. Je croyais que j’allais rencontrer des vietnamiens hostiles. Eh bien non, ils aimaient la France et les Français. Et c’est seulement avec ces gens-là que j’ai pu à l’époque parler de l’ex-Indochine.

    J’ai beaucoup lu sur la Guerre d’Algérie (le pays était proche et j’aurais pu y être envoyé), mais l’Indochine est devenue lointaine pour moi. La Guerre d’Algérie, tiens, comme pour celle d’Indochine, ceux qui y avaient été envoyés n’en parlaient pas.

    Et récemment, j’ai lu le livre « Le dieu Blanc est mort à … » ; extraordinaire. Et j’en ai commandé d’autres de l’auteur ou conseillés par lui.

    Jean-Luc Ancely, que je ne connaissais pas, m’a fait une excellente impression, et écrite et orale.

    Je n’avais pas vu votre émission sur DBP, et c’est en recherchant des opinions sur ce livre, que je l’ai découverte, et regardée.

    Merci à vous et à l’auteur.

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