« Nous périssons faute d’émerveillement mais non faute de merveilles. » Chesterton
Recherche
-
Articles récents
Archives
Catégories
- A propos (72)
- Agenda (490)
- Chroniques Inactuelles (82)
- Écoutez et lisez (5)
- poésie sacrée (1)
- la bibliothèque de CL (3)
- Légende dorée (10)
- Les émissions d'Anne Brassié (208)
- Littérature (21)
- Livres choisis (26)
- Musique (8)
- Promenons nous dans les arts (4)
- Retour au réel (54)
- Sur les cimaises (7)
- Sur les écrans (137)
- Sur les planches (5)
- Textes lus à Radio-Courtoisie (3)
- TV Libertes (168)
- Versailles Mon Amour (24)
Commentaires récents
- Vanbeveren Stéphane dans Le bénévolat : pas de ça Lisette en 2023
- Anne Charlotte LUNDI dans [Redif] Perles de Culture n°167 : Un russe nommé Poutine, portrait
- Anne Charlotte LUNDI dans [Redif] Perles de Culture n°167 : Un russe nommé Poutine, portrait
- De Fonséca dans Ils en sont là : guerre ouverte contre le christianisme
- Raoul dans À propos
-
Abonnez-vous à notre newsletter
Liens
5ème set
Le sport et moi, ça fait deux. J’y suis allergique, je n’en pratique aucun et n’assiste jamais à un match, même à la télé. J’éprouve à l’égard de la religion du Foot une véritable aversion et j’en veux à ses footeux de fidèles de se laisser subjuguer par ce nouvel « opium du peuple » ; l’Euro m’exaspère et je n’ai aucune vénération pour l’équipe dite de France.
Après un début très long qui m’a ennuyé, je me suis finalement pris au jeu jusqu’à ressentir les affres, au moins le stress, du supporter…
Ce contenu a été publié dans Promenons nous dans les arts, Sur les écrans, avec comme mot(s)-clé(s) 5ème Set, Alex Lutz, Ana Girardot, cinéma, Jürgen Briand, Kristin Scott Thomas, Quentin Reynaud. Vous pouvez le mettre en favoris avec ce permalien.