Aux « élites » politico-médiatiques
Nous qui votons R.N. ( rassemblement National ), à vous qui nous méprisez parce que nous le faisons,
Nous les obscurs inintelligents, à vous les lumières de France,
Nous les repliés, les recroquevillés, les enfermés, à vous les ouverts, les visionnaires,
Nous qui aimons notre nation et les nôtres, à vous qui aimez tout le monde sauf nous,
Nous qui ne savons rien à vous qui croyez tout savoir,
Nous que tant de dangers menacent , à vous qui ne risquez rien,
Nous qui aimons notre culture et notre histoire, à vous qui les ignorez et les falsifiez,
Nous, les électeurs qui gagnent les élections en perdant des sièges, à vous qui les perdez en en gagnant,
Nous que vous ne cessez d’insulter publiquement, à vous qui nous privez des moyens de vous répondre,
Nous les piétinés des oligarchies, à vous qui les servez,
Nous les envahis, à vous qui collaborez avec les envahisseurs,
Nous les désinformés, à vous les désinformateurs,
Nous les résistants d’une France incarnée, localisée, vivante, à vous les serviteurs rémunérés des marionnettistes d’un Universel sans harmonie, à fort tropisme financier, où s’épuisent et s’évaporent les houles de la vie et les musiques de l’esprit,
Nous les assoiffés des valeurs de la vie, à vous les aveuglés de la finance sans entraves,
Nous les trahis, à vous qui nous trahissez,
Nous les oubliés, à vous qui paradez dans l’intense lumière médiatique,
Nous les « populistes » malodorants, à vous les anti-populistes puants qui sentaient si bon dans les cocktails,
Nous qui prions le Ciel, à vous qui vénérez votre petit nombril,
Nous qui vivons à l’ombre de nos clochers, à vous qui leur préférez les minarets dont vous serez demain les premières victimes,
Nous que vous prenez pour des c…s, à vous à qui nous le rendons bien,
Nous qui sommes en quête ouverte de vérité, à vous, penseurs d’élevage, dont la pensée est cultivée en serre dans les loges maçonniques,
Nous qui saignons encore avec les centaines de millions de cadavres au « sang impur » génocidés par les Républiques en marche, en Vendée, en URSS, en Chine, au Cambodge et ailleurs, à vous qui avez soutenu les exterminateurs ou dissimulé leurs crimes.
Nous qui redoutons la guerre civile, à vous qui nous la préparez,
Vous avez peur de nous qui n’avons et n’aurons jamais peur de vous.
Nous qui pétrissons le réel, à vous qui , à nos frais, abreuvez ceux qui vous écoutent encore de sottises et de mensonges,
Nous qui, jour après jour, construisons la France, à vous qui jour après jour travaillez à sa destruction.
Vous nous croyez murés dans un monde disparu alors qu’atteints de myopie vous ne voyez pas que votre monde irréel s’effondre et que vous êtes assis, élégamment vêtus, sur une poudrière dont vous alimentez les feux. Au seuil de votre effacement, avant de vous voir souffrir de n’être plus grand-chose, nous vous disons sereinement , irrespectueusement MERDE .
Eh! oui, nous sommes dirigés par des gens très vulgaires, des voleurs et des assassins. Il n’y en a qu’Un pour nous sortir de là…