« Nous périssons faute d’émerveillement mais non faute de merveilles. » Chesterton
Recherche
-
Articles récents
Archives
Catégories
- A propos (72)
- Agenda (542)
- Chroniques Inactuelles (108)
- Écoutez et lisez (6)
- poésie sacrée (1)
- la bibliothèque de CL (3)
- Légende dorée (10)
- Les émissions d'Anne Brassié (236)
- Littérature (21)
- Livres choisis (26)
- Musique (8)
- Promenons nous dans les arts (5)
- Retour au réel (56)
- Sur les cimaises (7)
- Sur les écrans (146)
- Sur les planches (6)
- Textes lus à Radio-Courtoisie (3)
- TV Libertes (196)
- Versailles Mon Amour (24)
Commentaires récents
- VANBEVEREN STEPHANE dans Foin de l’ordre architectural, de la beauté et du passé !!!
- Mainguy dans Un peu prévisible, leur fiesta ?
- Mainguy dans Mgr Viganò : procès pénal extrajudiciaire pour crime de schisme
- Marc-M. dans Et la liberté de penser, quand l’inscrit-on dans le marbre ?
- VANBEVEREN STEPHANE dans Sur les écrans La Ferme des Bertrand
-
Abonnez-vous à notre newsletter
Liens
Camus avait déjà compris
Ils sont des centaines et des centaines de millions. Ils ont faim et ils n’ont pas peur de mourir. Nous, nous ne savons plus ni mourir, ni tuer. Il faudrait prêcher, mais l’Europe ne croit à rien. Alors, il faut attendre l’an mille ou un miracle.«
Ce contenu a été publié dans A propos. Vous pouvez le mettre en favoris avec ce permalien.