Rappelons le : le vendéen bleu Clémenceau a pu tranquillement écrire : » J’approuve tout dans la révolution. J’approuve les massacres de septembre où, pour s’éclairer, la nuit venue, les travailleurs plantaient des chandelles dans les yeux des morts. J’approuve les noyades de Nantes, les mariages républicains où les vierges accouplées à des hommes par une imagination néronienne, avant d’être jetées dans la Loire, avaient à la fois l’angoisse de la mort et la souffrance de la pudeur outragée…Tout cela forme un bloc… »Un bloc de haine en effet qui laisse sans voix et ne prédispose pas la République française à se croire le modèle des vertus habilité à faire la leçon au monde .
Lisons le nouveau livre de Reynald Secher
Vendée: du génocide au mémoricide
25 ans après la publication de son livre, le Génocide franco-Français: la Vendée-Vengé, grâce à la découverte aux Archives nationales de documents totalement inédits, il démontre que le génocide de la Vendée a bien été conçu et mis en oeuvre par le Comité de salut public et la Convention.
Afin d’ échapper à leurs responsabilités et de masquer les crimes, ces criminels et leurs héritiers politiques ont nié les faits, imposé à la nation leur auto-amnistie et une impunité générale. Par contre Reynald Secher ayant consacré sa thèse à ce sujet ne put obtenir de poste à l’université…
Ce travail est la conclusion de toute une oeuvre qui permet ainsi aux Français de mieux comprendre ce qu’a été ce crime contre l’humanité, base de tous les génocides perpétrés au 20ème siècle , modèle selon Soljenitsyne, des génocides soviétiques et de ceux qui ont suivi.
Il est curieux enfin de suivre les débats médiatiques sur la reconnaissance du génocide arménien. Pierre Nora ne veut plus de lois contre ceux qui nieraient le génocide arménien mais on ne touche pas à la loi Gayssot. Loi édictée par un communiste:loi imprescriptible.
Livre publié au Cerf
25 ans après la publication de son livre, le Génocide franco-Français: la Vendée-Vengé, grâce à la découverte aux Archives nationales de documents totalement inédits, il démontre que le génocide de la Vendée a bien été conçu et mis en oeuvre par le Comité de salut public et la Convention.
Afin d’ échapper à leurs responsabilités et de masquer les crimes, ces criminels et leurs héritiers politiques ont nié les faits, imposé à la nation leur auto-amnistie et une impunité générale. Par contre Reynald Secher ayant consacré sa thèse à ce sujet ne put obtenir de poste à l’université…
Ce travail est la conclusion de toute une oeuvre qui permet ainsi aux Français de mieux comprendre ce qu’a été ce crime contre l’humanité, base de tous les génocides perpétrés au 20ème siècle , modèle selon Soljenitsyne, des génocides soviétiques et de ceux qui ont suivi.
Il est curieux enfin de suivre les débats médiatiques sur la reconnaissance du génocide arménien. Pierre Nora ne veut plus de lois contre ceux qui nieraient le génocide arménien mais on ne touche pas à la loi Gayssot. Loi édictée par un communiste:loi imprescriptible.
Livre publié au Cerf
Voici un ouvrage définitif sur la responsabilité des voyous révolutionnaires qui mirent à sac notre pays et, en particulier, la Vendée à la fin du XVIIIème siècle et que d’un même élan tous nos responsables politiques révèrent et que nos enfants apprennent à honorer à l’école ! Définitif, car les documents cités sont indiscutables. A faire lire aux enfants des écoles !
Nous assistons, en ce moment, à une effrayante pantalonnade de nos députés qui prétendent pénaliser la contestation du génocide arménien — après les jugements de Nüremberg — et qui ne sont même pas capables de dire un mot sur le génocide vendéen et les massacres perpétués par le premier régime historique qui se soit auto-baptisé « la Terreur » et qui a servi de modèle aux grands massacreurs du XXème siècle.
Lorsqu’un responsable politique se permet, paraphrasant ces ignobles assassins, de dire « Mais il ne faut pas non plus se contenter de dire de façon évasive comme Robespierre à la convention du 17 thermidor 1794 ‘des têtes vont tomber’, il faut dire lesquelles et le dire rapidement ! » il n’est inquiété par personne ! C’est probablement ce que l’on appelle la philosophie des lumières….
Comme l’écrit Brasillach, « Mon pays me fait mal. Quand sera-t-il guéri ? »