Lettre ouverte à Monseigneur Barbarin
Extrêmement peinée par votre punition infligée au Père Benoît je viens, Monseigneur, vous rappeler une ou deux vérités et quelques raisons d’être ulcérée.
Votre miséricorde n’est réservée qu’à certains. Dommage .
Pleurer ne suffit pas il faut comprendre
Le Père Benoît , après avoir dit sa compassion pour les victimes, a simplement rappelé que le Diable existait et qu’il ne faisait pas bon l’inviter à diner ! Aucun concile n’a encore décidé de sa disparition des écrans….à ma connaissance.
Si ces jeunes n’en ont plus conscience c’est de votre faute. A force d’éliminer le vrai catéchisme et les vrais messagers de ce catéchisme pour le remplacer par une catéchèse à l’eau de rose le réel vous revient dans la face.
Si tant de jeunes se tournent vers l’Islam c’est qu’ils y ont trouvé des règles claires . C’est de votre faute.
Si l’Eglise se fait marcher sur les pieds chaque matin que Dieu fait c’est que vous laissez insulter la loi naturelle, l’Evangile et ceux qui l’annoncent. C’est de votre faute.
Simone Veil a écrit que si les évêques avaient manifesté clairement leur opposition à sa loi elle ne serait pas passée !
Quelques mots sur le Père Benoît , c’est un lettré, un grand lecteur entre autre de Dante et de sa Divine Comédie. Tout le monde ne peut avoir pour références Marx et Jaurès. Lisez sa traduction d’ un essai italien sur le poète démontrant la symbolique chrétienne du livre. Puis je vous en rappeler le sujet ? Dante décrit le long cheminement de son âme tombée en enfer, puis conduit vers le Purgatoire et enfin au Paradis. Les supplices infligés aux pécheurs sont proportionnels à leurs fautes.
Puis je vous rappeler quelques fautes graves, la luxure, la gourmandise, l’avarice, la colère, l’indifférence, la violence, le suicide, le blasphème, la sodomie, l’usure, l’hérésie. Le dernier cercle de l’enfer accueille les pires pécheurs, les traîtres. Les traîtres envers leurs parents, leur patrie, leurs hôtes. Ces derniers grelotteront sous la glace. (Le réchauffement climatique n’était pas de mise à l’époque !)
Difficile à comprendre évidemment pour un clergé qui chante à tue tête « Nous irons tous en paradis »
La société civile est redevenue barbare, les adultes comme leurs enfants sont redevenus des barbares et se comportent sans foi ni loi, en dehors de quelques îlots de civilisation chrétienne. Une société qui n’a plus de catéchisme est une société qui redevient sauvage … Prenez le temps de lire Jean Madiran. Il suppliait qu’on lui rende » l’Ecriture, le catéchisme et la messe. »
Le seul péché actuel pour l’Eglise de France c’est adhérer au Front national. Pour lui l’enfer existe, vous y jetez des millions de gens. Les seuls avec lesquels l’œcuménisme est interdit sont les prêtres de la tradition. Ils n’existent pas, leurs messes et leur presse vivent dans les catacombes. Ils y vivent bien d’ailleurs car les fidèles financent généreusement cette aile combattante de l’église. Le denier de l’église »officielle » rentre moins bien, j’ai ouï dire ! Les imans , les pasteurs et les rabbins ont droit à toute votre bienveillance et à votre respect. Plus question de les convertir.
Le seul péché aujourd’hui c’est de dire la vérité . Moyennent quoi nous vivons dans le mensonge permanent et la jérémiade.
Je fais un rêve, moi aussi , celui de voir les fidèles, comme au premiers temps de l’Eglise, décider eux même qui sera évêque. Ainsi Saint Ambroise, Saint Augustin, Saint Martin, Saint Tropez et tant d’autres furent convaincus par leurs ouailles d’accepter la charge épiscopale. Cela vous a une autre allure que ces cooptations à la conférence des évèques sur le seul critère de compatibilité avec une République qui nous hait….
Nous sommes en guerre. Pour survivre il faut savoir être intelligent, pour convertir il faut être fier de soi et de son Dieu. Et éliminer ses chefs de guerre au milieu de la bataille c’est proprement suicidaire.
Très respectueusement Monseigneur.
Anne Brassié
Bravo pour votre clairvoyance et votre courage. Oui, c’est de la fautes des pasteurs si nous en sommes là.
mille fois bravo !! que puis je y ajouter…
Bravo madame ! Vous avez tout notre soutien!
Merci Chère Madame Brassié pour votre vigilance (on ne lâche rien?…) qui n’a pas laissé passer le deux poids deux mesures pratiqué par certains de nos clercs vis à vis de prêtres qui osent dire la Vérité sans laquelle il ne peut exister de Charité véritable et ne sont pourtant même pas, me semble-t-il, issus de cette Tradition pestiférée réputée pour sa dureté de coeur pour d’autres, en plein Jubilé extraordinaire de la Miséricorde qui plus est.
Olivier FLACH.
Magnifique lettre Mme Brassie , j’ai été meurtri en tant que catholique depuis la condamnation du Père Benoit par Mgr Barbarin, à l’evidence ce dernier montre que le courage a bel et bien abandonné sinon l’Eglise du moins ses hautes instances , mais que Mgr ne s’inquiète pas , nous sommes désormais des millions à penser comme le Père Benoît et vous n’arriverez plus à faire taire toutes les lucioles qui apparaissent dans les ténèbres dans lesquels vous aimeriez que nous restions …eh bien non, nos yeux sont grand ouvert ainsi que ceux de beaucoup de curés pour lesquels vous n’aurez pas assez de places dans vos prisons de l’esprit….
Merci pour cette magnifique lettre Madame Brassie, merci Pascal de me l’avoir transmise, je pense comme vous.
Je soutiens le père Benoît Hubert de ma prière et de ma respectueuse affection, il serait grand temps que nos pasteurs se réveillent.
Bravo Madame!
Un peu trop facile comme article…. Au delà du fond de la l’argumentaire du Père Benoit, il faut parfois prendre le temps de pleurer les morts comme le fit Jésus pour Lazare. Le bon sens et la charité auraient voulu qu’il ne s’exprime pas de la sorte à ce moment précis. Par ailleurs sur l’argument de la décadence des pasteurs, sachez que nous avons les pasteurs qu’on mérite, soyez des saints et vous aurez de saints prêtres!
Le saint curé d’Ars disait le contraire ! c’est la sainteté des prêtres qui fait celle des fidèles ! normal ! ils sont quand même carrément au-dessus de nous du fait de leur état !
Mais n’es-ce pas justement pas au saints prêtres de nous apprendre à devenir meilleurs si ce n’est des saints, votre réflexion rejoint celle des politiques à qui il faut rappeler qu’ils sont au service du peuple et non le contraire, comme ils l’ont oublié, les évèques ont oublié eux aussi qu’ils sont au service de Dieu et des hommes avant d’être à leur propre service
Dieu seul sonde les reins et les coeurs !
Qui êtes vous pour juger ce que les évêques ont oublié ? Ordonné en 77 cela fait plus de 13680 saints sacrifices de la messe, 68400 offices, encore plus encore d’oraisons, d’adoration….Dieu n’est pas comptable mais je doute qu’il ait oublié au service de qui le Cardinal se place..
Madame,
Mille mercis d’avoir exprimé si clairement votre sentiment suite aux propos de cet évêque.
La vérité est toujours simple et clair comme l’eau pure.
Petite objection « Respectueusement » me semble de trop.
On ne respecte que ceux en qui on a confiance surtout lorsqu’il s’agit de l’avenir de notre église Catholique.
Très respectueusement envers Vous.
Merci Madame, pour la justesse de ton et de fond de votre « Lettre ouverte ».
Nous Catholique, n’en pouvons plus de la Lâcheté de nos Evèques qui auraient dû prendre la parole (l’occasion était trop « belle ») pour rappeler à la société toute entière qu’on ne « flirte » pas impunément avec le Diable comme le font ces groupes de Rock sataniques. De la même manière, l’actualité et les infos nous « gâvent » des morts de Charlie Hebdo et du Bataclan (je ne me retrouve absolument pas dans leur culture et leurs idées) mais font fi, chaque jour que Dieu fait, de la mort (des centaines de milliers !) de ces saints innocents que l’on tue dans le ventre de leur mère, de ceux qui meurent partout dans le monde pour leur Foi en Dieu etc….
Une société qui tue ses enfants dans l’indifférence générale est une société bien malade…. Par ailleurs, personne ne croit plus à l’enfer car, en effet, l’Eglise nous assure que « Dieu est bon, tout le monde ira au Paradis ». Quel leurre et quelle responsabilité de la part du clergé qui aura un jour à répondre de toutes ces âmes qui se sont damnées faute d’un discours vrai sur les actes que l’on pose sur terre (et qui ont de réelles conséquences dans l’éternité). C’est terrible et quand on essaie d’alerter les consciences, on se heurte au mieux à de l’incompréhension, au pire à de la haine. (on dérange). Avec mes respectueux sentiments, Ch
Vous avez traduit mieux que je n’aurais pu le faire ce qu’il faut penser de ce douloureux
évènement, bravo pour votre courage, que la vérité triomphe!
Bravo Madame et merci, c’est exactement ce que nous pensons et vous avez su très bien lui écrire avec une très grande politesse.
Ces » élites » sont les traîtres de notre patrie, notre culture , notre patrimoine , notre France chrétienne traditionnelle . Sous leur croix , toujours plus petite, voir inexistante, se cache le tablier occulte antichretien. Merci madame , vous avez exposé si clairement et en quelques mots , tout ce que nous ressentons depuis ce funeste concile Vatican 2 . La France , devenue Rance est une république que l on peut qualifier d islamique et ces » élites » y sont forcément pour beaucoup.
Énorme respect pour ce que vous dites et votre véritable liberté de parler même avec mesure mais sans concession , toujours à la lumière des evangiles.
Excellent !
« Mon Dieu gardez moi de mes amis, de mes ennemis je m’en charge » … pitoyable évêque et pourtant plutôt parmi les meilleurs jusque là ! C’est dire …
Ce que vous écrivez me rappelle certains pharisiens à l’époque de Jesus… Vous ne semblez pas comprendre son message qui est avant tout: paix et amour. Vous semez la discorde et jugez sans même vous regardez avant.
Regardez votre cœur et ouvrez le. Abandonnez vous a l’amour … Les règles ne pourront se faire que si votre coeur se laisse transpercer par l’amour de Jesu. Je vous plains tous autant que vous etes ici, régis par des regles en oubliant le discernement la miséricorde et l’amour
Monsieur, Je ne comprends pas votre comportement.
Ce qui se dit ici vous insupporte. Pourquoi, alors, venez vous sur ce site dans le but d’invectiver les gens qui échangent? Nous ne sommes pas dans une secte. Nous sommes en droit de nous poser des questions face aux évènements du réel. Nous avons le droit de partager.
D’autant plus que la manipulation des esprits est la norme dans ce système, il est donc logique que des personnes, en conscience, souhaitent échanger leurs observations, et… sans vous en demander la permission.
Vous avez votre point de vue, j’ai le miens. Je n’irais pas vous culpabiliser ou vous insulter pour autant. Votre point de vue en tant que personne n’est pas supérieur au miens. Vous fermez tout dialogue possible avec une telle attitude.
Ce n’est pas constructif… Je n’irais pas sur les sites que vous fréquentez pour aller vous dire que vous êtes dans l’erreur.
Je vous rappelle une lapalissade : La vérité nous garde dans l’unité de l’Etre.
« La tolérance au dépend de la vérité est d’une insondable stupidité et le prix à payer en sera très lourd » confiait sur une antenne de TV allemande, un musulman convertit au christianisme.
Les êtres humains fuient la vérité parce qu’elle expose la réalité de ce qu’ils sont…
L’amour véritable n’a rien à voir avec le sentimentalisme.
Le père du cardinal Barbarin était un pilier actif et dévoué de l’Office International de Formation selon le Droit naturel et chrétien, Rue Desrenaudes, Ichtus aujourd’hui, au service exclusif de l’avènement du Christ Roi et de son règne sur la société. Que dirait il de son fondamentalusle primaire contre la Tradition, de son flirt avec une anglicane (pasteur !!!) et de sa soumission aux Mosquees lyonnaises ? A son crédit quand même, son aide aux chrétiens d’Irak et de Syrie, l’an dernier.
Quel plaisir je ressent à la lecture de votre texte, MERCI
Et j’apprécie également les commentaires, et je rejoint la plupart d’entre eux notamment @Vincent.
En ce qui concerne @ducellier, Pharisianisme écrivez vous ? mais l’amour a t’il un sens sans charité? et ce texte n’est il pas l’expression de cette valeur théologale en interpellant ce Cardinal sur ce qui nous chiffonne et cela conformément aux écritures (Matthieu 18-16).
Si nos politiques et médias ont une responsabilité grave sur ces événements, notre clergé a sa part, et cela n’est pas un jugement mais un fait.
Il n’en reste pas moins que j’apprécie d’autant plus ce Cardinal qu’il fut un des rare à soutenir la défense de la famille, et que sont initiative de neuvaine est exemplaire.
Nous sommes humain donc faible notre amélioration provient (entre autre) de notre soutient les uns vis à vis des autres et cet lettre en est l’expression.
J’ai lu votre lettre ouverte, madame Brassié, à monseigneur Barbarin avec un réel plaisir. Plaisir de constater que je ne suis pas seul, en tant que chrétien, à être éberlué par le dernier acte d’autorité mal placé à l’encontre du père Benoît, par son évêque qui, visiblement, est moins lucide que lui.
Votre lettre dit beaucoup de chose, notamment le malaise profond de notre clergé qui a abandonné sa mission première. Le berger ne s’occupe plus de son troupeau mais regarde allègrement dans les prés d’à côté. Faut dire que Vatican II a tout saboté. Il m’arrive comme tout un chacun de fréquenter les églises quoique peu assidument. … Difficile de chanter des chants pas beaux, qu’on ne connaît pas, alors qu’en latin, il y a de si belles choses intemporelles et tellement plus belles qui permettaient de communier par le chant. Rien que ça est déroutant !…
Merci pour ce que vous avez si bien écrit !
Aggravons encore nos cas pathologiques en citant l’Evangile et laissons les morts enterrer les morts, ils sont experts en la matière avec leurs Panthéonisations auxquelles nos élites ecclésiales concourent inlassablement en hommes de « bonne volonté » qu’ils sont et viennent de le confirmer hélas une fois de plus.
Vous pointez dans votre article un problème bien présent dans l’Église conciliaire, celui de la VÉRITÉ. En effet, depuis Vatican II, parler de vérité immuable et de dogmes fait hurler les modernistes (et tous ceux qui, de bonne volonté, ont reçu ce mauvais enseignement). La racine du problème que nous vivons actuellement dans la crise de l’Église est PHILOSOPHIQUE. Ce problème est le modernisme et il tire son origine dans le siècle des Lumières.
Le premier problème du modernisme se fonde sur la connaissance. Selon le moderniste , connaître signifie « avoir puissance sur ». Ainsi selon le moderniste, on ne peut connaitre que le monde matériel et non le monde spirituel. Ce qui est faux comme le rappelle le concile Vatican I en réaffirmant par exemple que l’existence de Dieu est démontrable par la raison seule. Le moderniste est donc un agnostique.
Vient ensuite l’immanence vitale. Comme on ne peut pas connaître des vérités immuables comme ils le prétendent, c’est l’Esprit Saint qui intervient en nous et qui suscite cet élan spirituel en nous. Ceci est une erreur inspirée du protestantisme (voilà pourquoi le modernisme a entre autres choses beaucoup de ressemblance avec le protestantisme.)
Vient enfin l’évolution. Les choses évoluent.
On comprend donc, à partir du moment où les modernistes disent que la foi n’est pas une connaissance des vérités révélées mais une expérience, que ces derniers prônent le dialogue entre religions. En effet, à partir du moment où la foi n’est qu’un sentiment, une expérience, ils disent que les musulmans, les protestants et autres ont aussi la foi.
Voilà aussi pourquoi le catéchisme n’est plus enseigné car ce serait faire apprendre des vérités, ce qui est contraire à la conception de la foi moderniste.
La base du problème est donc la vérité. Vous imaginez ensuite l’impact sur la théologie et la morale (cf Assie I et II, le synode….)
Exactement, il est là le problème.
Après 34 ans de sacerdoce, actuellement et depuis 30 ans dans le même diocèse, prêtre diocésain, je survis -par la grâce de Dieu- dans ce marécage, essayant de nager au-dessus du bourbier pour me maintenir dans la Tradition des eaux claires. Aussi ai-je apprécié votre Lettre ouverte au Cardinal Barbarin. J’apprécie ce prélat pour tant de bons côtés, mais là, sa nette compromission avec le cri des vautours me navre vraiment.
« Dans la Tradition des eaux claires. »
Je fais un état des lieux depuis 3 ans de notre Héritage religieux. Je suis attristée de ce que je vois. Il y a tant de confusion. Je n’y comprends rien. Tout cela ne ressemble pas à la religion de mon enfance et à ce que j’y ai entrevu alors. J’ai fait ma communion solennelle en 1961 et j’en garde un très beau souvenir : ce fut un moment si particulier où j’y ai rencontré Jésus.
Mais où est passé, par exemple le catéchisme et son approfondissement. J’entends beaucoup de gens savants qui parlent avec des mots compliqués qui ressemblent à une langue de bois… des mots qui ne font pas sens du tout car ils ne touchent pas le cœur de l’être. C’est de l’intellectualisme.
J’en suis toute étourdie et j’en ai presque la nausée.
Dans tout çà, je n’y vois aucune spiritualité vivante, aucun chemin dans cette pagaille. Mais j’y vois plutôt une O.N.G. en phase avec notre pauvre monde en décomposition. Et de plus, on nous saoule sans arrêt avec le monde entier. Les religions des autres, prennent de plus en plus d’espace et de place dans ce vide sidérale qu’est devenu l’Eglise. Où est l’Enseignement de Jésus-Christ?
Je cherche à clarifier les choses…
Oui, c’est un fait que je constate : l’Eglise actuelle est un bourbier où toutes les voies vers le Transcendant sont barrées. Je m’y sens très mal à l’aise.
Il y a trop de bruit ; le silence a disparu dans les Eglises. Impossible de s’y recueillir. Il n’y a plus de confession… il faut prendre un R.V. ou aller dans des endroits particuliers. Les prêtres ne sont plus respectés, mais beaucoup ne sont pas inspirants. D’ailleurs, pour beaucoup, on ne les reconnaît pas et rien ne les distingue dans la foule… Des évêques sur les plateaux TV ne porte même pas une petite croix au revers de leur veste… et beaucoup font de la politique-politicienne.
Ce n’est pas çà que j’attends d’eux. Chacun son métier et son poste, si je puis dire!
Bref, j’avais décidé de faire « un pas de côté, » pour retrouver la sérénité et pouvoir faire la part des choses en conscience. J’espérais que le Bon-Dieu me donnerait un signe, une explication, avec le temps et l’apaisement.
Et là, par votre témoignage et cette phrase toute simple, vous me donnez la réponse à toutes mes questions.
– Il convient de retourner aux Traditions ; à la source vive des eaux claires de la Tradition. Là où la conscience se maintient en éveil.
Pour ce qui me concerne, maintenant, c’est évident. C’est aussi une sécurité bien précieuse, dans un monde devenu très dangereux pour l’intégrité de la Personne humaine et le salut de son âme.
Je vous en remercie.
Que la Très Sainte Vierge vous accompagne, chaque jour.
J’ajouterai que le Cardinal Barbarin n’est pas des moindres, mais je sais que votre Lettre stigmatise l’ ‘Eglise d’aujourd’hui’… progressiste et conformiste.
Un seul mot « Bravo! »
Je soutiens ce prêtre et prie pour lui
Bravo! madame, j’admire votre zéle , votre courage, et votre franchise. vous avez entièrement raison, je vous soutiens. Il ne faut pas être hypocrite. Dieu a besoin de soldats debout!!!pour combattre à ses côtés, et il compte sur nous. Que Dieu vous bénisse madame.
Quel amas de critiques, de venin ,de regrets du passé dans cette lettre…
Ce n’est pas comme cela que l’on fera des pas en avant dans le sens de la miséricorde…tellement souhaitée par notre cher pape François qui loin des discours idéologiques vit ce qu’il proclame . Merci François ! Merci Barbarin !
Nous ne sommes plus en 1925…..!
Chère Anne, merci et bravo pour cette lettre ouverte. Ce n’est pas d’aujourd’hui que la vérité n’est pas bonne à dire (le premier qui dit la vérité, il doit être exécuté, chantait Béart avec à propos). Le père Hervé Benoît a attendu une semaine pour analyser le massacre du 13 septembre et le remettre en perspective.
Si le prêtre qu’il est doit faire preuve de compassion pour les morts, son devoir d’état est aussi de faire preuve de charité pour les vivants, et quelle meilleur acte de charité que de dire la vérité ? ou de faire remarquer que le commerce du diable est dangereux ? Montrer la similitude entre les fous d’Allah (Mgr Barbarin, par un étonnant amalgame, dirait, probablement, « fous de Dieu ») et ceux qui aiment le diable (fous du diable ? « je baiserai le diable sur la langue ») ou qui paient pour venir écouter des chanteurs qui chantent « j’aimerai le diable et sa chanson » en signalant la même inculture, le même infantilisme, etc. est indépendant de la compassion que l’on peut éprouver pour les victimes. Les uns tuent, les autres pas (encore).
Peut-être Mgr Barbarin devrait-il, lui-même, faire retraite dans un monastère pour y réfléchir loin du monde !
Depuis le début de cette histoire j’ai cherché vainement à joindre une pétition en faveur du Père Benoît qui n’a fait qu’exprimer ce que beaucoup de monde pense sans oser le dire par peur des représailles: résultat de la liberté d’expression sensée suivre » tous Charlie »…!!!
Où trouver cette possibilité de nous compter?
Tout votre texte correspond à ce que j’aurais pu signer
Merci de votre combat
Ah, le diviseur ! là encore il se glisse… en nous troublant… parce que ce que vous dites est juste et votre indignation fondée… et… le Cardinal est pasteur….!
Mgr Barbarin ne nous dit pas ce que pensent les exorcistes de son diocèse sur les musiques satanistes… Lui le sait très bien et il aurait au moins pu profiter de l’occasion pour mettre en garde les catholiques et parler de ce sujet de façon claire.
Quant à la position de certains évêques sur le Front National -voir http://www.bfmtv.com/politique/l-archeveque-de-lille-met-en-garde-avant-les-regionales-on-ne-peut-etre-catholique-et-xenophobe-933849.html#- c’est scandaleux quand on pense par exemple aux prises de position de MMLP sur le planning familial. On va voter FN avec plaisir… et lire le livre du Père H. Benoît sur la Divine Comédie. On peut se consoler en se disant que les moines sauront redonner du courage au Père Benoît. Merci de votre initiative!
Je ne sais pas si pour un prêtre digne de sa mission, c’est une punition que d’aller faire un séjour dans un monastère !
C’est en tout cas ce que pense l’ évêque Barbarin habitué qu’il doit être, comme tout ce clergé mondain en rupture de l’esprit de Dieu, aux compromissions d’un siècle confus et noir !
Il serait temps que ce mitré fasse une retraite chez les Bénédictins pour retrouver le message du Christ et notamment toute sa colère contre le mal et ses philistins complices enrobés dans leur confortable bonne conscience.
Courage Père Benoît, le curé d’Ars veille sur vous !
Bravo chère Madame pour votre réaction bien compréhensible. Je rajouterai à votre propos une observation personnelle faite dans le cas précis et très proche de moi d’une personne ayant apostasié l’islam depuis 2001 en prenant conscience de l’horreur islamique (et non « islamiste ») et qui souhaite se convertir au christianisme. Le moins qu’on puisse dire est que l’accueil qui lui a été réservé est pour le moins décevant si tant est qu’on puisse parler d’accueil…Personne pour l’écouter, renvoi vers des « parcours » pas très adaptés.Bref j’ai le sentiment très pénible de voir une Eglise pas prête sinon fuyante devant ceux qui voudrait connaitre le message chrétien, surtout s’ils veulent se sortir de cette idéologie de mort qu’est l’islam.
Il n’est donc pas étonnant devant une telle attitude que les églises se vident car elles ont perdu leur âme en se soumettant ainsi à la doxa délétère de notre triste époque…
Un incroyant peut approuver plusieurs points de cette Lettre ouverte, notamment l’allusion à l’évêque de Parthénia.