« Nous périssons faute d’émerveillement mais non faute de merveilles. » Chesterton
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[Redif] Perles de Culture n°167 : Un russe nommé Poutine, portrait
Ce contenu a été publié dans Les émissions d'Anne Brassié, TV Libertes, avec comme mot(s)-clé(s) Bruno de Seguins Pazzi, Editions du Cerf, Editions du Rocher, Helena Perroud, Perles de Culture, Quand le christianisme fait son cinéma, TVL, TVLibertés, Un russe nommé Poutine. Vous pouvez le mettre en favoris avec ce permalien.
Comme il a été reproché à l’auteur d’écrire un ouvrage de parti pris, je confirme qu’il apporte des commentaires personnels et judicieux sur chacun des films. Quand on a la foi, il est normal de prendre parti pour le Bien, le Vrai et le Beau et ne pas se masquer d’une objectivité autant relative qu’hypocrite. Un chrétien n’est pas spectateur passif du monde ou du cinéma mais est d’abord un acteur vivant de l’Eglise.
La recherche d’un confort de téléspectateur passif devant les images animées vident l’âme des hommes (télévision, smartphone, tablette, cinéma…). C’est une plaie grandissante dans notre monde. A ce cinéma de distraction, Bruno de Seguins Pazzis oppose son travail d’examen des œuvres et invite à un regard attentif ainsi qu’à une compréhension profonde. En un sens l’auteur rappelle que toutes les images chrétiennes qu’elles soient sous formes de peintures, sculptures, croix présentes sur nos chemins, églises ou magnifiques cathédrales sont des appels à entendre le Verbe et une incitation au travail vers la sainteté.
Merci à Bruno de Seguins Pazzis pour son excellent livre !
Commentaire de Y. Steve retrouvé dans mes fiches…
Pour plus d’informations : https://www.livresenfamille.fr/divers/15161-bruno-de-seguins-pazzis-quand-le-christianisme-fait-son-cinema.html?aff=MTg6MjI=
Dans sa toute première interview télévisée en qualité de président, le 4 janvier 2000, Vladimir Poutine évoque la longue conversation qu’il a eue avec Boris Eltsine lorsque celui-ci lui a proposé d’être son successeur. Le président a alors dit à son jeune Premier ministre des mots qui, comme le dit Poutine, ont été décisifs pour lui : « Vous savez, je prends cette décision aussi parce qu’il s’est produit ce que je considère comme le plus important : les gens croient en vous. » Vladimir Poutine rajoute : « Et à mon sens, c’est plus important, en effet, que de passer d’un bureau à l’autre. Et même d’un bâtiment à l’autre, quel que soit le prestige du bâtiment. Même si c’est le Kremlin. C’est cela, en effet, le plus important. »
En dix-huit ans il sera passé, plusieurs fois, d’un bâtiment à l’autre, du siège de Premier ministre à celui de président. Et les Russes, dans leur majorité, semblent toujours croire en lui. Et de nouveau croire en leur pays. Les pages de ce livre essaient d’esquisser des éléments de réponse à cette énigme : pourquoi ce lien tissé au fil des années entre Poutine et la Russie ? Passionnant et très instructif !
Plus d’informations sur Livres en Famille : https://www.livresenfamille.fr/biographies-temoignages/15091-helena-perroud-un-russe-nomme-poutine.html?aff=MTg6MjI=