Conspiration contre la foi : Comment l’Église catholique a été piégée et calomniée au Canada !
Il est profondément choquant et révoltant de constater comment, sous le prétexte le plus fallacieux, l’Église catholique au Canada a été traînée dans la boue, salie et accusée de manière scandaleuse ! L’affaire prétendue des “fosses communes” de 215 enfants autochtones au Canada, divulguée au printemps 2021, se révèle n’être rien d’autre qu’un tissu de mensonges orchestré pour jeter le discrédit sur l’Église.
Trois ans de calomnies, trois longues années durant lesquelles des églises ont été vandalisées, brûlées, des fidèles horrifiés, et tout cela pour quoi ? Pour une campagne diffamatoire dont le but inavoué était clairement de nuire à l’image de l’Église catholique, en la présentant comme le bourreau de ces innocents.
“Le chef Derek Nepinak de la réserve indienne isolée de Pine Creek avait déclaré qu’aucun reste n’avait été trouvé.“
Le pape François lui-même, entraîné dans cette tourmente, a dû présenter des excuses, ajoutant ainsi à la crédibilité de ces accusations infondées, devant une assemblée mondiale ébahie par tant d’horreurs supposées. Mais aujourd’hui, la vérité éclate au grand jour : aucun reste humain n’a été découvert sur ces prétendus sites de fosses communes. Près de 8 millions de dollars dépensés en vain par le gouvernement, dans une quête de preuves qui n’ont jamais existé !
Il est intolérable que le Premier ministre Justin Trudeau ait justifié de tels actes de destruction envers des lieux de culte, avivant les flammes de la discorde au lieu de chercher la vérité. Cette honteuse manipulation de l’histoire a non seulement causé des dommages irréparables à l’Église, mais aussi semé la discorde et la méfiance au sein de la communauté nationale et internationale.
Ce scandale, monté de toutes pièces, n’a servi qu’à porter préjudice à l’Église, à détourner l’attention des vrais problèmes sociaux et à manipuler l’opinion publique à des fins politiques obscures. C’est une véritable tragédie que de voir combien facilement des institutions, des médias et même des leaders mondiaux peuvent être entraînés dans un mensonge si éhonté, prêts à sacrifier l’honneur et la vérité pour des agendas cachés.
Qui en bénéficie, en effet ? Qui a tiré les ficelles dans cette odieuse entreprise de diffamation ?
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