I N V I T A T I O N
Judith Reisman à Paris avec Terre et Famille …et vous
Il faut bien sûr lire Judith Reisman. Encore mieux : la rencontrer. Ce sera possible pour la première fois en France (et peut-être la seule) le 30 novembre.
Ne manquez pas ce rendez-vous. Judith Reisman est l’une des rares personnalités issues du monde universitaire à avoir compris très tôt que les rapports Kinsey étaient une arme de destruction massive contre la famille, n’épargnant ni les corps ni les âmes des enfants.
Au bout de la destruction ? Des adultes adultérés, des enfants merchandisés, des individus échangeables.
Pour reconstruction, réarmons-nous, restaurons la structure familiale -ce fondement organique de toute société capable de s’instituer dans la durée. Les travaux de Mme Reisman nous seront un précieux adjuvant. Ce 30 novembre, venez !
Conférence de presse Judith Reisman – Terre et Famille
Mercredi 30 novembre 2016 à 18h30
9 rue Bergère – 75009 Paris
Inscrivez-vous dès maintenant :
terreetfamille@gmail.com
0652452100 ou 0650951380
Vous trouverez ces informations sur le lien ci dessous :
http://terre-et-famille.fr/category/agenda/conference/
« Qui n’a jamais entendu parler des « rapports Kinsey » ? Dans les années ’60 et ’70, alors que la révolution sexuelle transformait les mœurs et la structure des sociétés occidentales, ils en furent la caution scientifique, et même plus, la caution morale puisqu’il se disait que le puritanisme avait étouffé des pulsions naturelles et saines, et que chacun, homme, femme et même enfant, allait enfin être libéré. Publiés en 1948 et 1950, ces rapports sortirent rapidement des cercles universitaires pour inonder les publications grand public : journaux, magazines féminins, et bien sûr presse gravitant autour des mouvements pour la libération des femmes. Alors que le « jouir sans entraves » de Mai–68 allait faire florès, ces rapports nous disaient comment jouir, avec qui, combien de fois et par quelles stimulations, ouvrant la voie à ce que l’ONU est en train d’établir : des « droits sexuels » pour tous, dès l’âge de 10 ans. Car les prémisses des travaux de Kinsey – biologiste spécialiste des insectes – sont qu’en matière de sexualité il n’y a pas de normes, il n’y a que des comportements qu’il prétend observer comme il a observé les guêpes : homosexualité, sado-masochisme, voyeurisme, pédophilie et zoophilie ne sont ainsi que des variations d’une sexualité épanouie.
Mais pour établir ces rapports – financés par la Fondation Rockefeller – Kinsey va puiser à toutes les sources : prostituées, prisonniers, enfants à peine pubères et même nourrissons, ce qui n’empêchera pas leur parution d’être saluée comme une avancée scientifique, alors qu’ils n’étaient qu’un instrument de la promotion de l’idéologie libertaire et de la destruction des structures familiales.
C’est en 1996, après le viol de sa propre fille âgée de 10 ans par un jeune de 13, que Judith Reisman se met à étudier les rapports Kinsey. Ayant entendu répéter à cette terrible occasion que « les enfants sont sexuels dès la naissance », elle a voulu comprendre d’où venait cette assertion qui semblait largement répandue. Les travaux de Kinsey, après avoir réussi à faire admettre que tout le monde est peu ou prou homosexuel, étaient bien à l’origine de l’étape suivante : la sexualisation des enfants, dans le sillage d’un Jack Lang qui déplore que « la sexualité puérile est encore un continent interdit » et d’un Thierry Lévy qui se plaint avec véhémence du tabou de la pédophilie. Consciente des enjeux civilisationnels et moraux qui se cachaient derrière les tableaux froids de rapports qui se présentaient comme scientifiques, Judith Reisman est partie en guerre contre ces études, les méthodes employées, la pertinence des échantillons, mais aussi et surtout contre leurs conséquences – la « restructuration » des cerveaux – qui se font sentir si dramatiquement aujourd’hui.
Née aux États-Unis en 1935, Judith Reisman est une essayiste et conférencière américaine. Titulaire d’un doctorat en communication, professeur invité à l’école de droit de la Liberty University en Virginie, elle a écrit de nombreux essais autour de la pornographie, de la pédophilie et de la banalisation de la sexualité dans l’espace public.
« Fondamental !
Tout le reste en découle .
ALAIN SORAL