« Nous périssons faute d’émerveillement mais non faute de merveilles. » Chesterton
Recherche
-
Articles récents
- Réponse très actuelle aux délires d une journaliste de La Croix
- Cour suprême contre État du Massachusetts… Victoire contre la théorie du gender
- [Redif] Perles de Culture n°327 – Les écrivains ne meurent jamais
- [Redif] Perles de Culture n°323 – Une amitié franco-russe pour l’éternité
- Halloween, imposture macabre : le sourire du diable sur le visage des enfants
Archives
Catégories
- A propos (72)
- Agenda (601)
- Chroniques Inactuelles (124)
- Écoutez et lisez (11)
- poésie sacrée (1)
- la bibliothèque de CL (3)
- Légende dorée (11)
- Les émissions d'Anne Brassié (272)
- Littérature (22)
- Livres choisis (26)
- Musique (9)
- Promenons nous dans les arts (6)
- Retour au réel (59)
- Sur les cimaises (7)
- Sur les écrans (154)
- Sur les planches (7)
- Textes lus à Radio-Courtoisie (3)
- TV Libertes (232)
- Versailles Mon Amour (24)
Commentaires récents
- Stephane Vanbeveren dans Lettre à Mesdemoiselles de Sainte Marie de Neuilly
- Anne Charlotte Lundi dans Propos d’avant-hier pour après-demain
- EA dans Le jugement des juges
- Domitille de Gérin-Ricard dans Conservons à Notre Dame les vitraux de Viollet Le Duc
- Anne Charlotte Lundi dans [Redif] Perles de Culture n°256 – Jean Raspail et Frédéric Rouvillois : « Nous maintiendrons »
-
Abonnez-vous à notre newsletter
Liens
Le prénom
Ce contenu a été publié dans Sur les écrans. Vous pouvez le mettre en favoris avec ce permalien.

Un très bon film.
Benguigui joue convenablement et donc bien mieux que les actuels pseudo comédiens du sérail; les autres comédiens également, sans surjouer.
Les dialogues sont vraiment bons.
Très probablement parce que ce film vient du théâtre, il sait être comique et tout à la fois profond. Il a un rythme incessant et suscite l’attention à chaque seconde.
De Le Patellière, bon sang ne saurait mentir.