Excellente satire sociale tirée d’un livre américain, Human capital, mais adaptée à l’Italie d’aujourd’hui. Ou comment la soif d’argent , l’excès d’argent ou le manque totale du même argent fait commettre des actes honteux ou entrainent des comportements ridicules.
Satire de notre temps sans foi ni loi. Tragédie puisqu’il y a mort d’innocent pour laquelle ses enfants ne recevront rien car ils sont trop petits pour sentir le prix de la douleur, pretium doloris pour les juges chargés des indemnités. D’excellents acteurs dont trois personnages bons tout de même , le plus noble étant celui que la société fait passer pour fou…..
“Nous périssons faute d’émerveillement mais non faute de merveilles.” Chesterton
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