“Nous périssons faute d’émerveillement mais non faute de merveilles.” Chesterton
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Les Veuves de Santiago, de Jean Raspail
Ce contenu a été publié dans Livres choisis, avec comme mot(s)-clé(s) Jean Raspail. Vous pouvez le mettre en favoris avec ce permalien.
Bonjour madame
Après avoir acheté ce livre dimanche, j’ai lu hier soir la phrase : “Le plus arriéré de ces valets avait plus de noblesse dans sa botte que l’homme des villes dans son cœur desséché.”
C’est une réflexion que je m’étais faite il y a des années déjà en Syrie et surtout au Tchad.
Les gens d’un village des gens très simples dont la “vision cosmographique” s’arrêtait aux pourtours de leurs champs, avaient bcp plus d’allure que les petits merdeux des ONG ou les petits vaniteux des ministères de N’Djamena
Je me suis fait à nouveau la réflexion en Colombie, en voyant les indiens Koghis, et plus simplement en France quand j’ai vu un ministraillon ( soyons franc : un élu) , faire des sourires forcés à des éleveurs dont il n’avait rien à foutre
Il n’y a plus de “gravitas romaine”
L’esprit de la téléréalité en fait a commencé avec les élections démocratiques : il faut plaire, se montrer “peuple” ou plutôt ce qu’on croit qu’il est
Depuis 1944, l’américanisation a commencé ; maladroitement les politiciens ont cherché à signer la décontraction américaine et n’ont fait que du vulgaire et je crois que le mépris des gens en est le résultat
merci pour cette publication