Le 28 mai, une tribune publiée par Le Monde (bien sûr) dénonce une fois de plus le Pr Raoult, coupable d’avoir réalisé « le plus grand essai thérapeutique sauvage jamais connu », parce qu’il a soigné des gens avec de l’hydroxycholoroquine. Le 3 juin, l’Agence nationale de la sécurité du médicament porte plainte. Parce que Raoult n’avait pas « l’autorisation ». Et c’est haro sur Raoult dans tous les médias du système.

Voilà encore un exemple spectaculaire de l’inversion accusatoire. Le Pr Raoult n’avait pas besoin d’une quelconque autorisation pour utiliser un médicament connu depuis des lustres, et il est hallucinant de le voir accusé aujourd’hui alors que les médias filmaient à l’envi ce qu’il faisait il y a trois ans, et que personne alors ne l’accusait de réaliser un « essai thérapeutique » sans autorisation… En revanche c’est l’injection avec des produits complètement nouveaux, sur des centaines de millions de personnes, pendant la « pandémie », qui a constitué très clairement « le plus grand essai thérapeutique sauvage jamais connu », avec des effets secondaires dont on fera le sinistre bilan plus tard. Mais ceux qui ont réalisé cette injection illégale massive sont ceux qui ont le pouvoir et qui ont les plus grandes poches, donc l’empoisonneur a raison et le clampin qui soigne a tort (même si le clampin est celui qui a les indiscutables références scientifiques).

Comme le souligne Raoult, les « seuls cobayes ont été ceux qui ont été vaccinés, par un essai illégal du fait de l’absence de consentement sans contrainte ».

Une tribune de soutien au Pr Raoult rappelle les faits et récolte les signatures.

Via le blog d’Yves Daoudal