Anish Kapoor, « artiste » anglo-indien autoproclamé, et Catherine Pégard, présidente de l’établissement public du Château de Versailles, ne décolèrent plus. Mercredi matin, en effet, d’affreux terroristes ont eu le bon goût de projeter de la peinture jaune sur le « Vagin de la Reine », une « œuvre » pornographique imposée depuis le 9 juin aux nombreux visiteurs des jardins de Le Nôtre. Un acte qui aurait dû passer inaperçu, au moment où des dizaines d’églises et autres chefs-d’œuvre de notre patrimoine sont chaque jour saccagés en France dans l’indifférence la plus totale. Mais l’idole des bobos ayant été visée, pas question cette fois de laisser le « crime » impuni.
Ordures et gravats
Rappelons que cette trompe d’acier rouillé de 60 m de long, entourée de blocs de pierre dont certains peints en rouge sans, suscite à juste titre une vive polémique depuis son installation sur le Tapis vert de Le Nôtre. Deux conseillers municipaux de Versailles, à la fois très sérieux et plein d’humour, devaient même déposer plainte jeudi contre Anish Kapoor pour « dégradation d’un monument classé » et… « dépôt d’ordures et gravats dans un lieu protégé ».
Or, mercredi, ce tas de ferraille a été abondamment aspergé de peinture jaune. Un « attentat » non revendiqué qui aurait vivement ému le ministre de la Culture, et a poussé Catherine Pégard à déposer plainte immédiatement pour « vandalisme ». Une enquête est même en cours pour retrouver les coupables, passant notamment par l’étude des vidéos de surveillance du château.
Interviewé jeudi par Le Figaro, Kapoor pleurait sur le saccage de son « œuvre ». Dénonçant « une certaine intolérance qui apparaît en France », le saccageur officiel et accrédité par les bobos, totalement déconnecté de la réalité et semble-t-il inconscient du dégoût massif que suscite son « art » auprès du public, devait expliquer : « Le problème me semble plus politique qu’autre chose, il renvoie à une fraction que l’on me dit très minoritaire pour laquelle tout acte créatif est une mise en danger d’un passé sacralisé à l’extrême pour des desseins qui n’ont rien d’artistique. »
Bravo! l’arroseur arrosé. Son tas de ferraille est une insulte à a beauté des lieux.
Tous les adorateurs de ce veau d’or sont des ignares, des incultes. C’est du foutage de gueule