Albert Dupontel prend son temps et réfléchit . Voilà l’une des raisons de la réussite de ses films. Il fait se rencontrer à Paris, une nuit de Ier janvier une très jolie juge de 40 ans, Ariane Felder, célibataire, sans enfant et un petit voleur à la belle gueule, lui aussi. Tous deux blessés par la vie. Je ne vous en dis pas plus mais l’on rit de la première à la dernière image. Le scénario, les dialogues, les castagnes, tout est hilarant et très enlevé. Le jeu de mots du titre dit tout ou presque. Sur certains membres de la justice, de la police, les féministes, la caricature pétille et on se régale . Quand aux photos d’échographie de ce bébé qui s’accroche on ne peut que soupçonner une tendance pro vie très originale dans le contexte actuel !
« Nous périssons faute d’émerveillement mais non faute de merveilles. » Chesterton
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